Le calme avant la tempête. Quelques heures avant le départ.




L’une des sorties les plus attendues de l’année, les CLASSIC DAYS, circuit mythique, ambiance rétro des plus conviviales et plateau aussi pointu qu’éclectique, bref un rendez vous à ne pas louper.

Pourtant les choses n’allaient pas êtres aussi évidentes ! Nous sommes Mercredi 1 Mai, après avoir commandé le 27 Mars, toujours pas de silentbloc de train arrière. L’auto est sur 4 chandelles donc toujours pas testée. Malgré tout Ammo et moi faisons de notre mieux pour avancer la préparation de l’auto, remontage du siège passager (modification des rails pour le passage de l’extincteur), suppression des traces de colle de l’Autoworks Day2, nettoyage, collage des stickers, ou comment avoir l’impression de mettre la charrue avant les bœufs. Evidement le support du rétroviseur trouve l’idée sympas de se casser (avec l’aide de mon coude quand même), pas de soucis on fabrique une nouvelle pièce (au moins ça fait passer le temps), remontage de l’essuie glace. Bref, ne pouvant rien faire de plus, on se détend comme on peut sur les terrasses messines.

Les silentblocs sont censés arriver le lendemain soit le jeudi 2 Mai. Un petit déjeuné vite englouti précède une attente interminable que l’on se décide à abréger en allant chez le revendeur à une cinquantaine de kilomètres de là. Arrivé à destination, toujours RIEN, la boutique nous rappela lorsque que le livreur passera.  Ammo et moi allons faire les dernières emplettes pour le voyage, boules quies, boissons énergisantes, eaux et quelques bricoles à grignoter et là…. 11h38 le téléphone sonne, les silentblocs sont arrivés !

Ni une ni deux, on file les récupérer pour attaquer le remontage juste après un bon repas.

FEU ! Le fond plat et le diffuseur étant déjà montés, le remontage est assez long s’en suit une séance de parallélisme nerveusement compliquée mais pourtant primordiale.

Derniers serrages, voiture au sol,  petite appréhension avant de partir en essais à 23h30 avec une sortie latérale des plus bruyante. 5 minutes après le départ une fumée pas possible se fait présente, de plus en plus présente ! Une courte halte après avoir empoigné l’extincteur me permet de comprendre que c’est l’isolant et la bande thermique dans le passage de l’échappement qui fume. Hop l’auto freine droit, pas de bruits suspects, retour au bercail ! Une lumière bleu dans le rétro et une sirène familière me font penser qu’il faut que je rentre au plus vite, allez plus que 400m, moteur et feux coupés, je me laisse glisser dans l’entrée ! Ammo referme le portail juste derrière moi fin de la soirée, au lit.

Le lendemain on charge l’auto, applique quelques isolants par ci par là,  et on prend la route… (à suivre !)


1 comment:

  1. Pas besoin de partir dans des pays lointains pour vivre des aventures mémorables, juste un train pour Metz et c'est gagné !

    Heureusement dans tous nos malheurs on pouvait compter sur la formidable Mme Champomier toujours pleine d'entrain et cuisinière de haut rang, qui mérite bien plus d'étoiles au guide Michelin que certains chefs !

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